« Si vous voulez « réussir » dans la vie, n’hésitez pas à montrer vos failles ! »

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Vous souvenez-vous du poème de Jean de La Fontaine « Le Chêne et le roseau » ? En réfléchissant au thème de cette news, je me suis souvenu de cette phrase, restée dans un coin de ma mémoire : le roseau plie mais ne rompt pas.

Ne sommes-nous pas trop souvent, à l’image de ce chêne à l’ego surdéveloppé, voulant tout contrôler, se montrer fort, sans faille, quitte à ne pas s’écouter, quitte à s’abrutir de travail, quitte à se donner à des addictions pour oublier, quitte à se détruire la santé mentale, physique ? Surtout ne pas montrer nos faiblesses, nos blessures, nos imperfections….. « Un garçon ne pleure pas !! » Nous l’avons tous entendue ou prononcée, cette phrase…

Serait-ce un souci éducationnel, culturel ?

Et pourtant…

Ecrivain, philosophe, sportif, entrepreneur, reine, parent, homme, femme, enfant, nous sommes tous confrontés, un jour ou l’autre, à nos failles, nos erreurs, nos échecs, nos imperfections ! Mais que nous apportent-ils ?

Gabriel Ringlet, dans son livre « Eloge de la fragilité » écrit cette phrase détonante : « Si vous voulez « réussir » dans la vie, n’hésitez pas à montrer vos failles ! Dieu lui-même est fragile, et c’est là sa grandeur ».

Comment est-ce possible ? Dieu fragile ?!

En effet, Dieu a désiré s’incarner en naissant pauvrement dans une étable, dans notre condition humaine. Il a même choisi de mourir de façon infâme sur le bois de la croix comme un vulgaire bandit.
Au cours de sa vie publique, Jésus a été très sensible à toute détresse humaine, à la de vie des plus faibles. En rejoignant l’homme dans sa fragilité, Dieu nous a montré la puissance de sa force d’amour envers nous.

Il existe tellement de formes de fragilités : un complexe, une dépression, un handicap, la perte d’un emploi, la mort d’un être cher, le harcèlement scolaire ou au travail, le manque de moyens, les difficultés financières, la violence conjugale ou intra-familiale, le vieillissement, le racisme,…

Reconnaissons-la. Soyons créatifs. Trouvons des solutions, de l’aide. Osons frapper aux bonnes portes. Faisons-nous confiance.
La fragilité pourrait nous donner la force pour traverser les difficultés de la vie.

Et la foi dans tout ça ? Que nous apporte-t-elle ? A chacun de trouver sa réponse. Pour ma part, demander humblement l’aide du Seigneur pour vivre ce que j’ai à vivre m’aide beaucoup.

Gabriel Ringlet dit, dans son interview avec Philippe Cochinaux sur Dominicains TV, avoir toujours terminé ses cours avec cette phrase : « N’ayez pas peur de votre fragilité. Elle sera une très grande force dans votre existence ! ».

Nombreux sont les articles, les émissions, les témoignages qui traitent de la fragilité. En voici quelques-uns ci-dessous. La liste n’est pas exhaustive… Ces derniers vous permettront peut-être de réfléchir, de méditer. Sans doute y aura-t-il un retournement, un changement de cap, une bulle d’oxygène, un nouveau souffle pour (re)trouver la VRAIE VIE qui est en chacun de vous !

  • Interview de Gabriel Ringlet par Philippe Cochinaux. Il y parle de son livre « Éloge de la fragilité ». « Le leitmotiv de ce livre étonnant qui invite à rencontrer Dieu au journal télévisé, dans un roman, une B.D., un poème ou un fait divers. Agnostiques, croyants ou non-croyants trouveront dans ces courts récits une approche nouvelle, très libre et personnelle des évangiles.
  • Académie Catholique de France : La fragilité est indissociable de la vie. Elle nous interpelle à tous les niveaux. La fragilité est inhérente à l’accueil d’une vie que l’on n’a pas programmée et que l’on ne contrôle pas et   cela nous fait peur. Pourtant, ne pas l’accueillir nous transforme en fossiles vivants. Nous partageons cette fragilité devant l’accueil de la vie avec Dieu. ICI
  • Dans le cadre de l' »Année Amoris Laetitia« , le Pape François, dans la 9e vidéo, nous parle de la fragilité des familles mise à rude épreuve partout dans le monde. « L’Église a le devoir de tendre la main à ceux qui souhaitent rester proches de Dieu, de les aider à transformer leurs échecs et leurs souffrances en occasions de cheminer vers la plénitude de l’Évangile. »
  • Ensemble prévenons la dépendance: un hôpital de jour pour personnes âgées fragiles. Le reportage vous décrit le parcours de personnes âgées fragiles.
  • De la fragilité humaine à la fragilité divine. À partir de la pensée du théologien protestant Paul Tillich, Élisabeth de Bourqueney nous livre une réflexion sur la fragilité humaine et la fragilité de Dieu. Le Dieu que nous célébrons à Noël est celui qui, au cœur de nos aliénations, nous donne le courage de surmonter l’absurde, l’angoisse, le non-être. ICI
  • Vodeus propose différents reportages :
    • la vie de Joseph Wresinski, créateur du mouvement ATD Quart-Monde, pour lutter contre la misère à partir de 1956.
    • Confessions sans filtres pour un hymne à la vie
    • « Corps fragile » proposé par « Vodeus », commence par ces paroles : « La vie m’a mis un moteur de Ferrari dans une carrosserie de 2 CV ». Ce sont les propos de Jean-Baptiste Hibon, psychosociologue, formateur et infirme moteur cérébral qui ouvre ce film.
  • Le témoignage poignant de la reine Paola, qui dans un reportage, nous livre avec beaucoup de sincérité ses difficultés de vie et de couple durant les années 70-80. Elle nous livre ses regrets mais aussi quelques conseils comme se donner le temps, pardonner, éprouver de la tendresse, aimer mieux ses enfants,… Et elle dit aussi cette phrase « Quand on accepte ce qu’on doit faire, on devient libre » ! Cfr article du Paris-Match, le reportage de Nicolas Delvaulx sur RTBF « Paola, côté jardin »
  • KTO : Pour se préparer au Carême, « La Foi prise au mot » vous propose une réflexion sur un thème très actuel : la fragilité (23-02-20). Régis Burnet reçoit deux invités : Marc Leboucher, éditeur et écrivain, et Corinne Lanoir, bibliste, professeur d’Ancien Testament à la faculté de théologie protestante de Paris.
  • Enterrement de Gaspard, fils aîné d’Anne-Dauphine Julliand, auteur de nombreux livres dont « Deux petits pas sur le sable mouillé ». Ecoutez ce mot d’accueil poignant des parents et le message plein d’espérance en dépit de la mort de leur 3e enfant.

« Paix aux hommes de bonne volonté ! »

En réfléchissant à notre news du mois de décembre, cette partie de phrase tirée de l’évangile Luc (chapitre 2 verset 14), a commencé à occuper une bonne partie de mes réflexions du moment.
Qu’est-ce donc qu’un homme ou une femme de bonne volonté ?
A qui pourrais-je décerner ce « titre » ? De quelle personne du passé, ou contemporaine, pourrait-on dire qu’elle fait partie des « hommes de bonne volonté » ?

Je suis sûre qu’il y a quelques années, dans un groupe de catéchisme, on m’aurait dit : « Sœur Emmanuelle ! – Mère Térésa ! – François d’Assise ! » Dans les années 70, on aurait dit « Gandhi ! – Martin Luther King ! – Don Helder Camara ! » Et dans les années 80-90, on aurait sans doute ajouté « La Princesse Diana ! – Bob Geldof !… » Comme quoi, chaque époque a ses héros…

Est-ce que les fondateurs de l’Europe étaient des gens de bonne volonté ? Il faut reconnaître que l’intuition de Robert Schuman et Jean Monnet si peu de temps après la fin de la guerre de 39-45 était porteuse d’une grande espérance pour que le « plus jamais ça » devienne une réalité sur le continent européen.
« La paix mondiale ne saurait être sauvegardée sans des efforts créateurs à la mesure des dangers qui la menacent. La contribution qu’une Europe organisée et vivante peut apporter à la civilisation est indispensable au maintien des relations pacifiques. » Déclaration du 9 mai 1950 à lire in extenso.

Et aujourd’hui, ne voit-on pas se lever de jeunes, très jeunes gens parfois pour défendre la sauvegarde de la Terre (Greta Thunberg – Adeline Charlier…), ou le droit à l’accès à l’eau (Autumn Peltier…), pour s’opposer à une force aveugle (Ahed Tamimi, symbole de la résistance palestinienne…), pour la lutte contre les armes à feu (Emma Gonzalez, rescapée d’un fusillade en Floride…), pour la défense des droits des personnes de couleur (Marley Dias qui promeut la littérature mettant en scène des protagonistes féminins noirs…), pour que les filles aient les mêmes droits que les garçons (Malala Yousafzai, plus jeune prix Nobel de la Paix… » ? Et la liste n’est absolument pas exhaustive… D’autres visages, d’autres actions, d’autres noms ci dessous…

Assurément, des hommes et des femmes de bonne volonté…  et si jeunes ! « Aux âmes bien nées, la valeur n’attend pas le nombre des années ! » Corneille n’avait pas tort…

Tant mieux s’ils sont médiatisés, ils nous secouent si nous voulons bien leur accorder un peu de crédit, ils posent question, ils nous empêchent de ronronner en rond… Ils ne sont sans doute pas exempts de contradictions mais ils sont là et leur parole simple et directe nous atteint et nous fait réfléchir.

Au-delà de ces militants médiatisés, n’y-a-t-il pas autour de nous des anonymes, hommes et  femmes de bonne volonté dans la vie quotidienne ? Evidemment ! Toutes ces personnes qui, de manière naturelle ou choisie, pensent qu’elles ne sont pas le centre du monde et pourraient  terminer leur journée en se disant : « Peut-être qu’aujourd’hui, j’ai contribué à apporter un peu de beauté, de bonté et de bien autour de moi… »
Qu’est-ce qui les caractérise ? Sans aucun doute une aptitude à la gentillesse, vertu hautement suspecte dans notre monde compétitif et individualiste. La gentillesse ! « Le plus grand plaisir »  de l’être humain disait Marc-Aurèle.

« La gentillesse, si périlleuse parce qu’elle repose sur la sensibilité aux autres, sur une capacité à s’identifier à leurs plaisirs et à leurs souffrances. Se mettre à la place de l’autre peut-être très inconfortable. Mais les plaisirs que procure la gentillesse, comme tous les grands plaisirs humains, ont beau être périlleux par nature, ils sont parmi les choses les plus gratifiantes que nous possédions. » […] « Tout, dans notre système de valeurs actuel, fait qu’elle peut sembler parfois utile (autrement dit efficace) mais qu’elle est potentiellement superflue, qu’elle constitue un vestige d’une autre époque ou un élément d’un vocabulaire religieux. Pourtant, nous la désirons toujours, en sachant qu’elle crée la sorte d’intimité, la sorte d’implication avec l’autre dont nous avons à la fois peur et terriblement besoin. En sachant que c’est la gentillesse, à la base, qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue et que tout ce qui va à son encontre est un coup porté à nos espoirs. » Lire tout l’article

L’Avent commence… Soyons attentifs aux signes de gentillesse à donner et à recevoir, sans bruit, sans médiatisation, comme si cela coulait de source… comme si, à l’image des bergers de la crèche, c’était évident de contempler et de favoriser l’Amour quand il passe. Soyons comme eux des hommes, des femmes et des enfants de bonne volonté ! C’est la graine du Royaume qui commence à germer.

Quelques videos inspirantes :

Extraits d’évangile

Sir Nicholas Winton

Messages inspirants

La chaîne de la gentillesse

La philosophie de la gentillesse

Parole inattendue avec Christophe André

Anne

« Famille Amoris Laetitia »

Ce 19 mars 21, en la solennité de Saint Joseph, le pape inaugure l’année « Famille Amoris Laetitia », cinq ans après la publication de l’exhortation Amoris Laetitia. François souhaite approfondir le sujet car pour lui, « les familles sont une bonne nouvelle pour le monde ». Selon le préfet du dicastère pour les Laïcs, la Famille et la Vie, le cardinal Farrell « Les familles sont pleines de possibilités et de dons pour toute la société et pour l’Église, c’est pourquoi elles doivent devenir des acteurs dans les paroisses et les diocèses… […]Elles sont un message d’espérance pour le monde entier et surtout pour les jeunes». Dans Amoris Laetitia, le Pape écrit aussi sur les fractures et les imperfections de la famille, avec les thèmes délicats de la séparation, du divorce, du remariage, et aussi la question sensible de l’homosexualité. C’est pourquoi Amoris Laetitia avec son ton de base positif, mérite une nouvelle lecture. » cfr Vatican News ICI


Vivre en s’inspirant d’Amoris Laetitia: des familles témoignent ! A partir du 25 mars, François nous proposera chaque mois une vidéo à découvrir sur le témoignage de dix familles de différentes régions du monde.

A découvrir sur notre site toutes les infos concernant l’année Famille Amoris Laetitia, divers articles, les vidéos annoncées…

Je t’aime, un peu, beaucoup… Focus sur « aimer ».

Eros ? Agapè ? Pothos ? Philia ? En grec ancien, 10 mots pour exprimer toutes les nuances de l’amour. En français, un seul ! Mais qu’est-ce que « aimer » ? Comment savoir si l’on est aimé ? Comment aimer toujours ? Comment (se) pardonner entre conjoints ? Comment aimer à nouveau après une rupture ?

Nombreuses sont les questions, nombreuses sont les réponses ! Des personnes, qu’elles soient jeunes, en couple, seules, prêtres ou psychothérapeutes, tentent de répondre selon leur vision. Découvrez ce panel non exhaustif à travers des vidéos, des articles, un livre, …

Dans son article « Dans la bible, quels sont les mots de l’amour ? », le site « Croire » développe quelques nuances.
Pour en savoir un peu plus, écoutez ou ré-écoutez les podcasts de « Aimer pour vivre » du 18 novembre et du 2 décembre 2020 : « Et si l’on parlait d’amour ? ». ICI

Père Stan Rougier nous donne sa définition dans l’émission « La foi prise aux mots » (52’ – 2013) « […]Soyez pour l’autre ce que la lumière et l’eau sont aux plantes. L’eau et la lumière permettent à la plante d’ EXISTER[…] L’amour, c’est cela : permettre de faire exister l’autre ! »

Dans le célèbre film « Des hommes et des dieux », Michael Lonsdale, dans le rôle de Frère Luc, improvise sa réponse à la question de la jeune musulmane.

Frère Luc, tu as déjà été amoureux?
–Oui, plusieurs fois. Et puis après, il est arrivé un autre amour, tu vois, Plus grand encore. J’ai répondu à cet amour-là. Ça fait longtemps maintenant: plus de soixante ans!
-Mais comment on sait quand on est vraiment amoureux?
-Il y a quelque chose en vous qui s’émeut à la présence d’un être, qui est incontrôlable et qui fait que le cœur bat généralement. Et c’est une attirance. C’est un désir. C’est très beau. Donc, il ne faut pas trop se poser de question, tu sais! C’est un état de fait. On est comme ça et puis, tout d’un coup, c’est le bonheur, enfin l’espoir du bonheur! C’est un tas de choses….Enfin, c’est un trouble, un grand trouble! Surtout quand c’est la première fois! »

Père Denis Sonet, conseiller conjugal, nous livre, dans une vidéo, ses recettes pour aimer et durer en amour, sans aucun tabou, parlant de l’adultère à la chasteté.

Au commencement d’une histoire d’amour et avant de s’engager vers le mariage, comment peut-on savoir si l’on est fait l’un pour l’autre pour toujours ? Témoignage d’un couple. Quelques clés de discernement données par un prêtre. « L’amour est un choix, une décision. »

« L’amour c’est… » Des jeunes tentent de répondre à cette question pas facile. Comment exprimer un tel sentiment pourtant si important dans la vie de chacun ? Mélissa nous dit sa vision, non sans générosité : « Être là pour la personne, lui donner de l’importance quelque soit sa différence, sa façon d’être. »

Connaissez-vous le langage d’amour privilégié de votre conjoint ?
Gary Chapman, auteur du best-seller « Les cinq langages de l’amour – Les actes qui disent « je t’aime » (en vente à la Librairie Siloë) décrit ces langages de l’amour. Il nous invite à découvrir quel est le nôtre, celui de son partenaire, de ses enfants. Document PDF

« Vies de Famille » (KTO) propose de nombreuses capsules (+/-5′) sur différents thèmes avec des témoignages et des points de repères :

L’accompagnement des couples après le mariage : les 5 langages de l’amour ICI

Faire la paix en famille : quel pardon dans le couple ?
« Il ne faut jamais terminer la journée sans faire la paix en famille », exhorte le pape François dans son exhortation apostolique « Amoris Laetitia » (2016, § 104). Comment entrer dans un chemin de pardon lorsque les difficultés sont importantes ? ICI

Confinement et famille : quels enjeux pour le couple ?
Entre travail, enfants et besoin d’être seul, le confinement peut faire ressortir les forces et les faiblesses du couple. Comment parvenir à se réserver des moments privilégiés à deux ? Comment communiquer et prendre soin de son couple ? ICI

Série « parents solos »
1/4 – Lorsqu’un parent se retrouve seul pour élever ses enfants, tout son quotidien est touché. Quel impact sur la vie familiale ? A quelles difficultés sont confrontés ces parents seuls ? ICI
2/4 – Seul dans la gestion du quotidien, dans la prise de décision, penser à tout, …Pour les aider à sortir de cette solitude, à Lyon, la Maison des familles leur propose chaque mois un temps d’échange entre eux pour évoquer leurs difficultés mais aussi s’apporter un soutien mutuel. ICI
3/4 – Comment assumer l’éducation de ses enfants ? ICI
4/4: le soutien de la foi et de la communauté chrétienne. Bien souvent, les parents seuls doivent également faire le deuil de la famille rêvée. Comment dépasser dans la foi cette blessure ? Quel soutien la communauté chrétienne apporte-t-elle à ces parents solos ? Comment la présence de Dieu dans leur vie leur permet-elle d’avancer ? ICI

Retraités : Se retrouver en couple
Quand arrive le temps de la retraite, les couples se retrouvent parfois face à face, à la maison, avec le temps devant soi. Mais comment se passe cette nouvelle vie de retraite à deux ? Quelles sont les clefs pour vivre au mieux ces retrouvailles au quotidien ? Quels sont les défis, et quelles sont les joies à vivre le temps de la retraite en couple ? ICI

Découvrez aussi cette vidéo humoristique du site « En duel ou en duo » : « La vérié sur les contes de fées »

Noël raconté par des enfants

Ce projet a consisté à donner un regard décalé et frais sur le récit de l’histoire de Noël. 30 enfants de la région de Neuchâtel (Suisse) et du Nord-Vaudois se sont mis dans la peau des personnages de ce récit biblique. A regarder en famille pour se souvenir que Noël finalement, c’est aussi simple qu’accueillir un enfant !

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