Bâtir un pont. L’Eglise et la communauté LGBT

James Martin – Ed. Le Cerf

Suite à la tragédie d’Orlando ayant frappé une discothèque gay en juillet 2016, très rares ont été les ecclésiastiques à manifester leur soutien à la communauté LGBT. Sur un constat plus général d’invisibilité, voire de mépris, des LGBT au sein de l’Eglise, James Martin invite chacun à la rencontre de l’autre, en s’appuyant sur les termes du Catéchisme de l’Eglise catholique, qui invite au respect et à la compassion.

Facile à lire, il se lit en quelques heures. L’auteur cherche vraiment à créer le dialogue dans les deux sens : l’Église avec la communauté LGBT et la communauté LGBT avec l’Église.

Soirée d’échange, de formation, de découverte

Petit rappel pour les distraits ;)

Pour TOUS les animateurs de la préparation au mariage (prêtres, diacres, laïcs, religieux) dans le diocèse de Liège : soirée d’échanges, de formation et de découverte.

Quand ? Au choix  le mardi 14 mars prochain de 18:30 à 20:45 ou  le mercredi 22 mars de 18:30 à 20:45. (petite restauration prévue)

Où ? Espace Prémontrés – 40, rue des Prémontrés 4000 Liège – Salle Beaurepart. 

Au menu : Les directives du Diocèse en matière de préparation au mariage; Le sacrement de mariage dans un langage accessible à tous; présentation des outils.

Infos et inscriptions : sdcf@evechedeliege.be ou +32 474 34 44 13 

Edito

Février… Le mois où tout le monde ou presque se sent obligé de penser à l’amour… ne serait-ce d’ailleurs que pour dénigrer la Saint-Valentin, cette fête des amoureux et des fleuristes… Même si offrir un présent est considéré par Gary Chapman – bien connu des accompagnateurs de couples – comme un des cinq langages qui disent l’amour, il semblerait que cette fête souffre de son côté outrancièrement commercial. « Et d’ailleurs je n’ai pas besoin d’un jour spécial pour dire à mon conjoint que je l’aime ! » Grand bien lui fasse pourvu qu’effectivement vous le lui disiez tous les autres jours de l’année !

Peu importe finalement, l’essentiel c’est peut-être de se rendre compte de l’énorme besoin d’aimer et d’être aimé qui préside pour une bonne part à notre bonheur.

Les poètes, les philosophes, les théologiens et même les neurobiologistes ont beaucoup discouru sur l’amour : ce qu’il est, ce qu’il n’est pas, ce qu’il devrait être et ce qu’il ne sera jamais… le tout avec une bonne dose de subjectivité qui en dit long sur la manière dont ils vivent eux-mêmes ce sentiment qui fait couler autant d’encre que de larmes.

Décide-t-on de « tomber en amour » ? Pas sûr du tout mais ce qui est certain c’est qu’ensuite, sa longévité dépend bien de notre volonté, autrement dit de la décision prise ensemble de le faire durer ou pas, des efforts que l’on va faire chacun pour que la première brise contraire n’en signe pas le naufrage, du poids qu’on lui accorde au-delà de la légèreté des premiers « papillons dans le ventre », de la volonté de renoncer à la toute-puissance pour faire régner la confiance… .

Quelle aventure alors ! Quelle victoire sur l’usure du quotidien ! Quelle espérance pour le monde des humains ! Cet amour-là vaut bien un sacrement !

Un couple qui se dit « oui » avec la ferme intention que l’amour qui le cimente ne se fissure jamais suffisamment pour se renier… ce couple-là, est héroïque pour beaucoup ; ce couple-là, a peut-être tout simplement compris que le secret de l’amour qui dure ne se trouve pas dans les émotions éphémères trop légères mais bien dans la gravité des jours qui passent sans étouffer l’étonnement d’être encore et toujours, l’un pour l’autre, sujet d’émerveillement, des amis, des amants, des partenaires, des alliés !

Bonne nouvelle ! Cela s’apprend !

Il y a donc des amours heureuses, n’en déplaise à Aragon !

ÉDITO

J’ouvre la télé et je vois une émission spéciale destinée à récolter des fonds pour les enfants en situation de pauvreté ; je change de chaîne et je découvre des conflits aux quatre coins du monde ; je zappe encore et je vois la liesse d’un peuple parce que ses dieux du stade ont remporté la coupe ; j’essaie une autre chaîne et je tombe sur un film de Noël plein de bons sentiments sucrés… Et tout cela se côtoie, s’entrecroise et s’entremêle me laissant l’impression que nous vivons dans un monde de fous !

Quoi qu’on en dise, rien de nouveau sous le soleil : les Terriens ont toujours vécu des histoires et des situations allant de l’horreur la plus noire à l’allégresse la plus pure !

Et c’est dans ce monde-là que notre Dieu décide de venir vivre ! Mais que lui prend-il ? Le plus optimiste des humains aurait déjà baissé les bras en voyant que rien ne change jamais, que c’est « todi lip’tit qu’on sprôtche », et que décidément « il n’y a rien à de bon à espérer de cette engeance » !

Sauf que quand on aime, on ne désespère pas !

Sauf que notre Dieu a un cœur de maman !

Sauf que pour nous donner une chance de changer, c’est dans un enfant qu’il se donne ! Un enfant totalement dépendant, qui attend tout de son entourage  : amour, pitance, chaleur ! Et ça commence fort : quand il arrive, il fait nuit, il fait froid, personne d’autre que ses parents, sans doute un peu désemparés, ne l’attend…! On dit que des bergers l’ont reconnu et ont accouru sans tarder. On dit que des mages ont vu un signe, une étoile brillante, qu’ils l’ont suivie et ont trouvé l’enfant. On raconte aussi que le potentat du coin a lâché ses reîtres pour essayer de s’en débarrasser…

Quoi qu’en en dise, depuis la nuit du premier cri de cet enfançon, quelque chose a changé dans la vie des hommes : dorénavant et pour toujours, Dieu est avec nous, au coeur de nos vies, au beau milieu de nos tribulations, à la naissance de nos élans les plus beaux !

Il est là ! Ce n’est pas un concept, c’est la réalité pour tous ceux qui ont le coeur et les mains ouvertes comme les bergers, le nez en l’air à la recherche du meilleur comme les Mages et même pour ceux qui ont l’âme assombrie par le mal.

Il est là !

Et comme le dit si bien le regretté Christian Bobin : « « A Noël, je vois venir (…) un enfant qui va m’apprendre des vérités élémentaires et pourtant tellement essentielles. Il va m’apprendre que d’un côté il y a les stratégies, les calculs, la force la puissance, l’argent, la jalousie. Et que, de l’autre, il y a l’attention à l’autre, l’oubli de soi, le don, l’ouverture, la bonté. A Noël arrive un enfant qui va nous rendre la vie impossible, mais sans cet impossible, il n’y a rien. »

Joyeux Noël !

Anne

Cougnous d’Noyé

Ingrédients (8 personnes) :
1kg de farine
0,5L de lait
50gr de levure fraîche
3 gros œufs
200gr de beurre
150gr de sucre fin
1 pincée de sel
400gr de sucre perlé
250gr de raisins secs
4 sachets de sucre vanillé
un peu de cannelle

Préparation :
Mélangez le lait avec la levure, puis ajoutez les oeufs battus avec le sucre semoule, le sucre vanillé, la cannelle et le sel. Incorporez ensuite la farine, puis le beurre ramolli. Pétrissez jusqu’à ce que la pâte soit bien lisse, couvrez d’un linge et laissez reposer 1h (four éteint)

Pétrissez à nouveau en ajoutant le sucre perlé et les raisins secs. Faites, de cette pâte, des boules de ±200 g et façonnez-les, chacune, en forme de bonhomme. Disposez-les sur la plaque du four recouverte de papier sulfurisé et laissez lever 45 min à température ambiante ou four éteint .

Préchauffez le four à 210°C. Enfournez les cougnous, baissez la température du four à 190°C et faites-les cuire de 20 à 25 min. Otez du four et laissez refroidir sur une grille.

Bon appétit !
Femme d’aujourd’hui – Délice

Prières de Noël !

« Noël, c’est toi »
Prière du Pape François,
« L’Esprit de Noël » (Ed. Michel Lafon) –
Trouvé sur le site du diocèse de Fréjus-Toulon

« Noël, c’est toi
quand tu décides de renaître chaque jour
et de laisser Dieu pénétrer ton âme.

Le sapin de Noël, c’est toi
quand tu résistes vigoureusement
aux vents et aux obstacles de la vie.

Les décorations de Noël, c’est toi
quand tes vertus sont les couleurs
qui ornent ta vie.

La cloche qui sonne Noël, c’est toi
quand tu invites à se rassembler,
et tentes de réunir.

Tu es la lumière de Noël
quand tu éclaires de ta présence le chemin des autres
par ta bonté, ta patience, ta joie et ta générosité.

Les anges de Noël, c’est toi
quand tu chantes au monde
un message de paix, de justice et d’amour.

L’étoile de Noël, c’est toi
quand tu conduis quelqu’un
à la rencontre du Seigneur.

Tu es aussi les Rois mages,
quand tu offres ce que tu possèdes de mieux
sans tenir compte de celui à qui tu donnes.

La musique de Noël, c’est toi
quand tu conquiers l’harmonie qui est en toi.

Le cadeau de Noël, c’est toi
quand tu te comportes en véritable ami,
en frère avec tous les êtres humains.

Les vœux de Noël, c’est toi
quand tu pardonnes et rétablis la paix,
même si tu souffres.

Le réveillon de Noël, c’est toi
quand tu rassasies de pain et d’espérance
le pauvre qui est auprès de toi.

Tu es la nuit de Noël
quand, humble et éveillé, tu reçois
dans le silence de la nuit
le Sauveur du monde
sans bruit ni grande célébration ;
tu es le sourire confiant et tendre
de la paix intérieure d’un Noël éternel
qui instaure son royaume en toi.

Joyeux Noël à tous ceux
qui se reconnaissent dans l’esprit de Noël. »

Points de repère (2013) – La Croix

Dieu toujours proche
C’est la nuit de Noël, Seigneur, et ça s’entend!
Le bruit des papiers cadeau et les rires du repas.
Tout scintille, je pétille!
Mais quand je regarde dehors
Les flocons qui tournent, tournent,
Je la sens si douce, cette nuit!
Jésus, ce petit bébé, c’est toi.
Comme tu nous ressemble!
Tu viens vivre chez nous.
Avec toi, Dieu sera toujours proche.

Dieu est avec nous
Joyeux Noël à tous les habitants de la planète!
Qu’éclate notre joie aux quatre coins du monde!
Bienvenue à toi, Jésus!
Bienvenue sur toute la terre!
Depuis que tu es né chez nous,
Dieu est avec nous!

Merci Seigneur
Ta lumière éclaire le visage de tous les hommes.
Elle les apaise, les rend heureux!
C’est Noël et tu nous rend heureux!
Merci Seigneur!

Dieu, tu es venu
Pourquoi s’allument les guirlandes?
Pourquoi s’éclairent les sapins?
Pour qui s’illumine la pénombre?
Pour qui se lève la vraie lumière?
Pour vous, pour moi
Car dans cet enfant fragile,
C’est Toi, Dieu qui est venu!

Tu es né sans bruit
À Noël je fais la fête
et j’ai des cadeaux plein la tête.
Mais toi Seigneur, tu est né sans bruit
Dieu parmi nous, sans un abri.
Dans tous mes rires de Noël,
fais vivre en moi cette joie réelle.

1er décembre – Lutte contre le Sida

1Quatre décennies après le début de la riposte au VIH, les inégalités persistent au niveau des services les plus élémentaires tels que le dépistage, le traitement et les préservatifs, et encore plus pour les nouvelles technologies.  On peut ajouter à cela les inégalités dues au sexe, au revenu, à la race, au handicap, à l’orientation sexuelle, à l’appartenance ethnique ou encore à la religion ; tout cela contribue à perpétuer la pandémie. Pourtant ces inégalités ne sont pas une fatalité. Nous pouvons y remédier.

A l’occasion de la Journée Mondiale de lutte contre le Sida, le 1er décembre de chaque année, l’ONUSIDA invite chacun d’entre nous à lutter contre les inégalités qui freinent les progrès pour mettre fin au sida. Le slogan de cette année, « Poussons pour l’égalité », indique combien la tâche est importante et jamais terminée.

Cette Journée de lutte contre le sida est, nous dit le pape François :  «une occasion importante de se souvenir des nombreuses personnes touchées par ce virus, pour lesquelles, dans certaines parties du monde, l’accès à un traitement essentiel est impossible» ».

Le Service Diocésain des Couples et des Familles, avec l’asbl La Communauté du Christ Libérateur organise une veillée de prière en mémoire des personnes décédées, en soutien aux personnes malades, infectées par le VIH et en solidarité avec le personnel soignant. La veillée sera oecuménique et se déroulera à la Chapelle de l’Espace Prémontrés (40, rue des Prémontrés à Liège) le jeudi 1er décembre à 19:00.

Anne Van Linthout

« Des arbres et des rochers …. »*

Quelle belle retraite vécue dans un paysage de toute beauté, en pleine nature automnale à quelques jours de la Toussaint !

Onze ados et deux jeunes professeures ont vécu des moments de paix, d’intériorité, de travaux communautaires, de temps de partage, d’émotions loin de tout bruit, de toute circulation, sans GSM… bref à l’écoute du silence de la nature mais aussi de son cœur.

Durant la matinée, tout le monde a mis la main à la pâte. C’est le cas de le dire puisque quelques-uns ont préparé du pain au levain, du crumble aux pommes, une soupe, le diner. Du bois a été coupé, des chaises repeintes, des carreaux lavés… Une première pour la plupart ! Le reste de la journée a été partagé en ateliers alternés par des temps libres, des temps de prière, des moments informels où l’on peut se confier, se dire…

Le résultat ?  Les ados ont éprouvé le sentiment d’avoir été utiles pour les autres et pour la communauté La Viale, de l’apaisement face au stress que peut générer l’école, le poids des problèmes écologiques, l’incertitude de l’avenir, le choix des études supérieures… Leur désespérance exprimée m’a bouleversée.

Est-ce si facile d’être un jeune aujourd’hui face aux nombreux problèmes économiques, aux conséquences des crises sanitaires, aux difficultés familiales, au poids du regard des autres… ?
La jeunesse d’aujourd’hui est-elle une jeunesse sacrifiée ?
Comment peut-elle envisager l’avenir de façon sereine ? Faut-il avoir des enfants ? Quelles études entreprendre ?
Que faire quand on vous coupe l’herbe sous le pied parce que vous avez un nouveau projet ?

Et nous, en tant qu’adultes, parents ou grands-parents, quels rôles avons-nous à jouer ? Comment les soutenir, les encourager ? Les écoutons-nous assez ? Leur laissons-nous assez de place ?

Leurs réflexions, leurs prises de conscience, leurs émotions, leur maturité m’ont aussi bouleversée. Certains ont pu déposer leurs croix trop lourdes à porter pour leurs jeunes épaules. D’autres ont exprimé au Seigneur des pardons, des mercis ou des émerveillements, des demandes bien concrètes …

Croyons en la jeunesse ! Laissons-la oser !
Portons-la dans la prière !
Elle aussi est appelée à devenir sainte… tout comme chacun d’entre nous !

MERCI à tous ces jeunes, à Jean-Louis, Jean-Marie, Antoine pour ces moments partagés !

En communion avec tous les saints…

Bénédicte

*Cette phrase de Bernard de Clairvaux a été chantée à plusieurs reprises durant les temps de prière par les jeunes : « Les arbres et les rochers t’enseigneront des choses qu’aucun maître ne te dira ; les arbres et les rochers, les arbres et les rochers ! » (Carnet de chants de La Viale)

« Les familles : école de vie ou de perfection ? »

Article de la newsletter du diocèse de Tournai

L’analyse de Jean-Michel Longneaux remet l’éducation et notre rêve d’être de bons parents en perspective. C’est quoi, être un bon parent ?

Tous ceux qui ont des enfants ont sans doute imaginé un jour quel bon parent ils voulaient être. 15 ou 20 ans après, les rêves de patience, de compréhension, de complicité ont fait long feu, ils ont dû se frotter à la réalité, à nos limites, au quotidien. « Si on veut être parfait, on se prépare un enfer », prévient le conférencier. « On se sentira toujours mis en échec, cela peut nous conduire à être démobilisé, à se sentir coupable et on risque de le faire payer à son enfant. » […]

Une réflexion percutante et passionnante qui dépasse sans aucun doute les seules relations parent-enfant et qui peuvent nous aider à poser un autre regard sur tous les liens de notre vie.

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Ecoutez toute la conférence

Pratiquez-vous la gratitude ?

Vivant dans un monde bouleversé tant par les problèmes économiques, écologiques que la montée des prix des énergies, la guerre en Ukraine, toutes les difficultés du quotidien, comment (oser ?) pratiquer la gratitude ? ? Qu’est-ce qui se passe dans le cerveau, dans le corps quand on remercie, on s’émerveille ? Que peut-elle nous apporter alors que notre cerveau a plutôt tendance à voir ce qui va mal ou ce qui nous manque ? Peut-on éprouver de la gratitude dans des moments très difficiles comme le deuil, la maladie, le burn out, les conflits… ? Quels en sont les fruits si on la pratique de façon quotidienne ?

Pour en savoir un peu plus, laissez-vous guider par ces vidéos et trouvez quelques réponses.

Comment pratiquer la gratitude ?

La gratitude peut changer votre vie ! Elle permet d’augmenter le niveau d’estime de soi et d’améliorer vos relations. Vous y trouverez quelques clés pour vous entrainer à pratiquer la gratitude…

Florence Servan Schreiber nous explique « Le pouvoir de la gratitude »

Avec le Frère Lionel Dalle, visionnez la série : « Le miracle de la gratitude » : La puissance de la gratitude

Panorama – Hors-série 22 : « Vivre la gratitude avec la sagesse chrétienne ».
Nombreux sont les témoignages : ceux venus du fond des temps avec St Jean Chrysostome, Ste Rita, Thomas Merton, Eloi Leclerc, Claire de Castelbajac et Hildegarde de Bingen. Et ceux d’aujourd’hui, avec Anne-France de Boissière, Marie-Laure Choplin…
Vous trouverez toutes sortes d’infos sur des livres, un parcours de 30 jours, des podcasts, des films ou documentaires…

Alors, avez-vous votre carnet sur votre table de nuit pour noter vos 3 Kifs du jour avant de vous endormir ?

Et pour terminer, découvrez « les 3 kifs » avec Florence Servan-Schreiber

  • de Thomas D’Ansembourg (Communication Non Violente)
  • de Wendy Suzuki (Chercheuse en neuro-sciences à NYU et passionnée par le lien entre le sport et le cerveau. Auteure de « Bouge ton cerveau » (Marabout)).