ce dimanche 7 novembre 2021 à 14h chez Croch’ 2.0 Rue de l’Espoir 1 – 4030 Grivegnée)
Lecture d’extraits du livre par Jacques RADOUX avec accompagnement au violon par François Mathonet Dialogues avec Françoise Barbier , veuve de l’auteur, suivis d’un apéro.
Présentation de l’auteur
« Enfant maltraité par sa famille, ballotté d’institutions en foyers au cœur du Borinage, Philippe Barbier grandit dans la solitude, la violence et les humiliations. Dans cet univers à l’équilibre fragile, il cherche très vite à rétablir le sien, à préserver une certaine harmonie. Ainsi, à sa manière, en suivant son instinct, par la débrouille et la créativité, il parvient à se construire pas à pas. »
Ainsi, à sa manière, en suivant son instinct, par la débrouille et la créativité, il parvient à se construire pas à pas. »
Un livre d’espoir…
« Devenu volontaire à ATD Quart Monde et sculpteur, Philippe Barbier raconte comment il a trouvé une forme de résilience à travers son engagement et son art. En revenant sur son histoire, il livre un formidable message d’espoir et une réflexion unique sur la différence, le regard de l’autre, le processus créatif et finalement l’humain en chacun de nous. »
Quand les catastrophes naturelles détruisent tout, défigurent les paysages, où es-Tu, Dieu ? Quand des milliers de personnes perdent leur logement à cause de la guerre, des problèmes économiques, le décès du conjoint, des inondations, des éruptions volcaniques, des tsunamis, , … où es-Tu, Dieu ? Quand des personnes meurent de faim, d’isolement, de solitude, où es-Tu ? Quand des innocents sont emportés par les flots, tués à cause de la barbarie des hommes, où es-Tu ? Quand des enfants sont gravement malades, handicapés, déplacés avec leurs parents dans des camps, abandonnés, exploités pour quelques pièces…. Mais où es-Tu, Dieu ? Où es-Tu quand la confiance est bafouée, quand le pouvoir et l’humiliation sont les maitres-mots ? Entends-Tu nos colères, nos désespoirs, nos doutes ?
Serais-Tu dans les bourgeons, annonciateurs du renouveau, dans ce joli dahlia aux couleurs automnales, dans cette belle nature qui, quoiqu’il arrive, reprend toujours ses droits ? Serais-Tu dans cette main tendue, dans ces gestes de solidarité qui réchauffent le cœur ? Serais-Tu dans la bouche de celui qui ose prendre la parole pour dénoncer la violence, la corruption, les injustices, … ? Serais-Tu dans le sourire de cet enfant, de cette dame que je croise dans la rue ? Serais-Tu dans une parole stimulante, encourageante que je reçois d’un inconnu comme un cadeau ? Serais-Tu dans le regard bienveillant de ces parents qui font confiance à leur enfant, qui croient en sa capacité de grandir, de se développer ? Serais-Tu présent chaque fois que je vis un moment heureux, joyeux ? Mais surtout, seras-Tu là dans les moments difficiles voire très difficiles à la puissance 4 ?
Eh oui… Je sais ! Tu es toujours là ! Pour me porter, me soutenir dans les moments douloureux, les moments de doutes, de déceptions, … mais aussi Tu m’accompagnes quand tout va bien ! Patient, Tu te tiens toujours sur le seuil n’attendant qu’une parole de moi : Entre mon Dieu !
Cher Lecteur, je te souhaite vraiment de vivre cette confiance en la présence du Seigneur quoiqu’il t’arrive …
Une nuit, j’ai eu un songe. J’ai rêvé que je marchais le long d’une plage, en compagnie du Seigneur. Dans le ciel apparaissaient, les unes après les autres, toutes les scènes de ma vie.
J’ai regardé en arrière et j’ai vu qu’à chaque scène de ma vie, il y avait deux paires de traces sur le sable : L’une était la mienne, l’autre était celle du Seigneur. Ainsi nous continuions à marcher, jusqu’à ce que tous les jours de ma vie aient défilé devant moi.
Alors je me suis arrêté et j’ai regardé en arrière. J’ai remarqué qu’en certains endroits, il n’y avait qu’une seule paire d’empreintes, et cela correspondait exactement avec les jours les plus difficiles de ma vie, les jours de plus grande angoisse, de plus grande peur et aussi de plus grande douleur.
Je l’ai donc interrogé : » Seigneur… tu m’as dit que tu étais avec moi tous les jours de ma vie et j’ai accepté de vivre avec Toi. Mais j’ai remarqué que dans les pires moments de ma vie, il n’y avait qu’une seule trace de pas. Je ne peux pas comprendre que tu m’aies laissé seul aux moments où j’avais le plus besoin de Toi. «
Et le Seigneur répondit : » Mon fils, tu m’es tellement précieux ! Je t’aime ! Je ne t’aurais jamais abandonné,pas même une seule minute ! Les jours où tu n’as vu qu’une seule trace de pas sur le sable, ces jours d’épreuves et de souffrances, eh bien,c’était moi qui te portais. (Ademar de Barros, poète brésilien)
Marion Muller-Collard sera présente ce jeudi 14 octobre 21 à 20h en la Collégiale Saint-Jean l’Évangéliste. Elle nous présentera son dernier livre « Les Grandissants » aux Editions Labor Et Fides. « Dans une relecture de la parabole du fils prodigue, Marion Muller-Colard explore, plus que son retour, le départ du fils cadet. Non seulement son départ, mais encore la nécessité de cette rupture qui le met au monde plus radicalement qu’une naissance. De la confrontation entre le texte biblique et une analyse subversive de l’âge qualifié d’ingrat jaillissent des voies inédites de souveraineté. Un éloge de toutes nos adolescences, car il n’y a pas d’âge pour « ratifier sa naissance ». « Cette existence qui a commencé par une vie reçue, qui se finira par une vie reprise, doit bien, un jour ou l’autre, être conquise. Ils fomentent une façon d’être autre chose qu’un débit. Ils fomentent un début. ».
Adresse du jour : Collégiale Saint Jean-l’Evangéliste, 32, place Xavier-Neujean, 4000 Liège. Entrée libre. Ouverture à partir de 19h30.
En partenariat avec la Fédération Wallonie-Bruxelles, Siloë Liège, RCF Liège, CathoBel et Dominicains TV
Dans le cadre de l’année Famille Amoris Laetitia, notre service organise un cycle de conférences en 2021-2022.
Le jeudi 21 octobre à 20h, notre première invitée sera Isabelle Roskam, Docteure en Sciences Psychologiques, Professeure en psychologie du développement à l’Université de Louvain. Elle a co-écrit avec Moïra Mikolajczak, Docteure en Sciences Psychologiques, Professeure en psychologie médicale et de la santé à l’Université de Louvain, « Burn out parental : l’éviter et s’en sortir » aux Éditions Odile Jacob. Isabelle viendra expliquer ce qu’est le burn out parental, nous donner des pistes pour l’éviter et pour s’en sortir.
« Plusieurs études récentes menées par l’UCLouvain montrent que l’épuisement peut provenir du rôle parental et de la vie familiale. Appelé « burn-out parental », ce syndrome affecte des parents d’enfants de tous âges, toutes catégories sociales et économiques confondues. Ce processus s’installe progressivement, de façon insidieuse. Les conséquences peuvent être importantes tant pour le parent (perte d’énergie, problèmes relationnels au sein du couple, problèmes de santé, addictions…) que pour le / les enfant(s) (négligences, violences verbales et physiques à leur égard). Sujet tabou, le parent souvent démuni ne reçoit pas toujours l’aide adéquate. »
Infos pratiques
Où ? Espace Prémontrés, 40, rue des Prémontrés, à Liège (Séminaire)
Quand ? jeudi 21 octobre à 20h
Coût ? 5€ à payer sur place
L’inscription
est obligatoire sur : sdcfliege@gmail.com (et non gmail.be
comme sur l’affiche !! ) ou par
téléphone 0474/34.44.13.
Avant d’entamer ce sujet, je vous invite à visionner cette vidéo qui en dit long, très long sur le job des parents : « Être parent, un métier difficile. Entretien pour un travail presque impossible »
Vous reconnaissez-vous ?
Dans notre société où l’on vise toujours plus l’efficacité, la rentabilité, la rapidité, où l’on idéalise la parentalité, il n’est pas simple de jongler avec vie professionnelle et vie de famille, épanouissement professionnel et personnel. Il y a parfois une distanciation entre nos rêves et la réalité du quotidien.
« Plusieurs études récentes menées par l’UCLouvain montrent que l’épuisement peut provenir du rôle parental et de la vie familiale. Appelé « burn-out parental », ce syndrome affecte des parents d’enfants de tous âges, toutes catégories sociales et économiques confondues. Ce processus s’installe progressivement, de façon insidieuse. Les conséquences peuvent être importantes tant pour le parent (perte d’énergie, problèmes relationnels au sein du couple, problèmes de santé, addictions…) que pour le / les enfant(s) (négligences, violences verbales et physiques à leur égard). Sujet tabou, le parent souvent démuni ne reçoit pas toujours l’aide adéquate. » (Les Mutualités chrétiennes) Ce phénomène progresse d’années en années et s’est accentué avec les confinements. C’est pourquoi il est intéressant de se pencher sur cette problématique.
Quels sont les symptômes à repérer ?
Un épuisement émotionnel et physique important (différent d’une fatigue qui se récupère après quelques bonnes nuits de sommeil), une lassitude dans les actes du quotidien, la tendance à agir en pilote automatique, une distanciation affective avec les enfants, l’envie de les envoyer sur une autre planète ou bien de tout quitter, le déni aussi parfois devant ses difficultés, la culpabilité de ne plus avoir l’impression d’être un bon parent alors que l’on rêvait de fonder une grande famille, le désir de s’isoler, …
Dans ces situations critiques, on peut observer la difficulté de la personne à exprimer ses besoins personnels, à s’octroyer du temps pour son bien-être. On constate souvent le manque de soutien concret ou d’écoute de la part du conjoint. Une autre caractéristique est un certain perfectionnisme comme vouloir être un parent parfait.
Quelles sont les solutions ?
Diverses solutions existent ! OUF !! ;)
Tout d’abord, prendre conscience qu’il y a quelque chose qui cloche dans son comportement avec les enfants. Ensuite oser parler de sa vulnérabilité à son conjoint, à son médecin traitant et accepter de se faire aider par un thérapeute ou un psychologue.
Prendre du temps pour soi, se donner du plaisir, partager des moments de qualité avec son enfant, en famille, en couple sont des clés pour éviter le burn out et s’en sortir.
Quelquefois il est nécessaire de se retirer de la famille pour se reposer, faire le point, prendre de la distance par rapport à ce que l’on vit.
Une autre piste est aussi de permettre au père de prendre sa place, nous dit Stéphanie Allenou dans cette vidéo (TEDxNantes). Nombreuses sont les femmes qui ont tendance à vouloir prendre tout sur elles, sans permettre au conjoint de jouer son rôle de père. La maman n’est pas une « superwoman » !
Pépites à découvrir : conférence, sites, formations, livres.
Conférence « Burn out parental : l’éviter et s’en sortir » ce jeudi 21 octobre à 20h à l’Espace Prémontrés, à Liège avec Isabelle Roskam. cfr affiche
Le site « Burn out parental »d’Isabelle Roskam (et de Moïra Mikolajczak- voir ci-dessous son interview dans « La maison des maternelles »), notre conférencière de ce 21 octobre. Il s’adresse aussi bien à des parents qu’à des professionnels. « Vous y découvrirez des informations sur les symptômes du burnout parental, un test diagnostic scientifiquement validé, ainsi qu’un ensemble de pistes pour éviter ou sortir du burnout parental (conférences, livres, centres de consultations spécialisés, listes de professionnels formés sur le sujet). La vidéo proposée en début d’article« Être parent, un métier difficile. Entretien pour un travail presque impossible » vient de leur site.
Un talk organisé par TEDxNantes avec Stéphanie Allenou. Découvrez aussi son site « « L’îlot familles » créé en 2010 pour soutenir la parentalité (solutions, pistes, forum pour les parents épuisés,…)
Quelques livres : possibilité d’acheter ce livre avant la conférence ‘Le burn-out parental: l’éviter et s’en sortir ‘ au prix de 20,80€
Deux mois se sont écoulés depuis notre dernière newsletter. Deux mois seulement et une foule d’événements qui nous ont appris que nous nous trompons lourdement si nous pensons que notre mode de vie nous est définitivement acquis et que nous pouvons parcourir les chemins de la vie sans nous tracasser de rien ni de personne.
Il suffit de quelques instants pour comprendre que la
vie peut basculer et vous jeter plus bas que terre dans la peur du lendemain,
l’incertitude et la mort… que ce soit à Haïti, en Afghanistan, en Chine, en
Méditerranée ou… en Wallonie.
Il n’y a pas de catastrophes plus ou moins graves selon
qu’elles se déroulent près ou loin de chez nous.
Ce sont chaque fois des enfants, des femmes et des
hommes jetés sur les routes, anéantis, les mains vides, les yeux effrayés, la
peur au ventre et qui ne demandent
qu’une chose : ne pas être ignorés, ne jamais devenir « personne ».
C’est toujours un appel à tous ceux qui ont un peu plus
de chance de se montrer à la hauteur de l’humanité que nous partageons tous.
Il n’y a pas « eux » et « nous » ;
il n’y a aucune cause plus prioritaire que l’autre. Il y a juste des soeurs et
des frères en humanité dont la détresse ne peut laisser sourds et aveugles sur
les dysfonctionnements de notre monde qui permet « ça » !
Il y a des « oui » à offrir et des
« non » à marteler.
Et me revient à la mémoire ce texte de Dom Helder
Camara dont je vous livre un extrait :
« (…) Je ne croirai pas que je n’ai pas à
m’occuper de ce qui se passe loin d’ici. Je veux croire que le monde entier est
ma maison, et que tous moissonnent ce que tous ont semé. Je ne croirai pas que
je puisse là-bas combattre l’oppression, si je tolère ici l’injustice. (…) Je
veux croire à l’action modeste, à l’amour aux mains nues et à la paix sur la
terre. (…) J’ose croire au rêve de Dieu même : un ciel nouveau, une terre où la
justice habitera. »
Bonne rentrée pétrie d’humanité, de lucidité et d’espérance !
Deux mois se sont écoulés depuis notre dernière newsletter. Deux mois seulement et une foule d’événements qui nous ont appris que nous nous trompons lourdement si nous pensons que notre mode de vie nous est définitivement acquis et que nous pouvons parcourir les chemins de la vie sans nous tracasser de rien ni de personne.
Il suffit de quelques instants pour comprendre que la
vie peut basculer et vous jeter plus bas que terre dans la peur du lendemain,
l’incertitude et la mort… que ce soit à Haïti, en Afghanistan, en Chine, en
Méditerranée ou… en Wallonie.
Il n’y a pas de catastrophes plus ou moins graves selon
qu’elles se déroulent près ou loin de chez nous.
Ce sont chaque fois des enfants, des femmes et des
hommes jetés sur les routes, anéantis, les mains vides, les yeux effrayés, la
peur au ventre et qui ne demandent
qu’une chose : ne pas être ignorés, ne jamais devenir « personne ».
C’est toujours un appel à tous ceux qui ont un peu plus
de chance de se montrer à la hauteur de l’humanité que nous partageons tous.
Il n’y a pas « eux » et « nous » ;
il n’y a aucune cause plus prioritaire que l’autre. Il y a juste des soeurs et
des frères en humanité dont la détresse ne peut laisser sourds et aveugles sur
les dysfonctionnements de notre monde qui permet « ça » !
Il y a des « oui » à offrir et des
« non » à marteler.
Et me revient à la mémoire ce texte de Dom Helder
Camara dont je vous livre un extrait :« (…) Je ne croirai pas que je n’ai pas à
m’occuper de ce qui se passe loin d’ici. Je veux croire que le monde entier est
ma maison, et que tous moissonnent ce que tous ont semé. Je ne croirai pas que
je puisse là-bas combattre l’oppression, si je tolère ici l’injustice. (…) Je
veux croire à l’action modeste, à l’amour aux mains nues et à la paix sur la
terre. (…) J’ose croire au rêve de Dieu même : un ciel nouveau, une terre où la
justice habitera. »
Bonne rentrée pétrie d’humanité, de lucidité et
d’espérance !
Nouveau logo ! Nouvelle formule ! Après une année d’émissions hebdomadaires, nous avons accepté de poursuivre cette aventure audio mais sous une autre forme. Nous avons souhaité animer une émission plus longue (une heure au lieu d’une demi-heure) une semaine sur deux en alternance avec Ralph Schmeder.??? Petit récapitulatif de toutes les émissions Des invités, nous en avons accueillis régulièrement et en tout genre. Quelques exemples : Paul Dewandre, auteur du célèbre spectacle « Les hommes viennent de Mars, les femmes de Vénus » interviewé par Philippe Cochinaux ; Sébastien Pins, reporter belge de films « nature » plusieurs fois primés; Geneviève Rousseau, auteure de livres pour la jeunesse, nous a parlé aussi de jeux ; Guy Schyns, diacre à Dison, a évoqué la pastorale des personnes séparées, divorcées, divorcées-remariées ; Tim et Sophie ont témoigné de leur expérience à la Casa Béthanie, un habitat groupé solidaire, mais aussi Romain et Ayrianne, Georges, Mathilde et Patrick, Sœur Florence, Christophe, Laurence et tant d’autres … Des sujets variés ont été abordés comme la catéchèse pour adultes avec Mess’Aje, la journée contre les violences faites aux femmes, les droits de l’enfant, l’intériorité, la prière, la solidarité, la nourriture, l’amour dans le couple, dans la famille, l’encyclique Amoris Laetitia…
Pourquoi ne pas écouter ou ré-écouter les podcasts en nettoyant vos légumes ou en vous reposant ? ;)
Pour la prochaine saison nous avons déjà quelques idées, mais patience… on vous les dévoilera au fur et à mesure …. Si vous avez quelques suggestions à nous faire, pensez à les communiquer à benedicte.florent@sdcfliege.be
Les récentes intempéries qui ont envoyé des centaines de personnes dans le désarroi et la misère nous rappellent qu’il est urgent de soigner la terre et les pauvres. C’est l’objectif du Temps pour la Création qui débutera dans un mois : réfléchir, prier et agir pour la Création, dans la continuité de l’encyclique Laudato Si. Le groupe des Chrétiens en Transition et le Service diocésain de la Transition ont prévu pas moins de 13 événements. Vous êtes chaleureusement invités à y participer et à relayer dès à présent cette invitation dans vos communautés. Les détails arriveront au fur et à mesure sur cette page du nouveau site www.maisoncommune.be. Dans vos paroisses et communautés, vous aussi vous pouvez vivre ce Temps pour la Création, par exemple par une Messe de la création que nous vous invitons à célébrer le dimanche 3 octobre 2021 (date indicative). Nous avons préparé pour vous un canevas de messe que vous trouverez en cliquant ici, à adapter à votre contexte.
Joaquim Lesne Référent Ecologie intégrale – Vicariat Evangile et Vie Rue des Prémontrés, 40 – 4000 Liège-ext. 04/230.31.66 – int. 226